[Projet roman] Au delà des rêves (titre à modifier)

Bah voilà, ça c'est un truc que j'ai commencé en 6e je crois et que j'ai toujours pas fini, mais je compte bien y arriver un jour ! Bon je promets rien du tout, mais alors rien du tout sur la régularité des envois, parce que je modifie tout le temps ce que j'écris et qu'en ce moment j'ai pas le temps d'avancer. Bon allez-y j'adore les critiques ! (Anna toi tu l'a déjà lu je crois enfin pas tout...mais tu es parti en vacs, ça tombe bien tu pourras pas influencer les autres )


Des pas résonnèrent au loin dans la ville.
L’homme la suivait, toujours et encore. Où qu’elle aille, où qu’elle se cache. Les pas de la jeune fille se firent plus pressants mais rien n’y fit. Les siens résonnaient à peine sur les dalles glacées de l’allée, ceux de son agresseur se faisaient lourds, pesants, mais si rapides…Déjà l’homme la rattrapait, déjà il était sur elle, déjà il se saisissait de sa personne. La jeune fille eut beau crier, il tint à peine compte de ses cris de désespoir. La nuit était noire, les rues étaient sombres, les étoiles se cachaient derrière les nuages pour ne pas voir cet enlèvement. Une longue voiture d’un noir d’ébène, à peine visible, était garée un peu plus loin. Ses vitres étaient teintées de noir. De ses grands bras, l’homme la souleva de terre sans même la regarder, il la tint fermement sous son bras et l’y jeta. Il ferma la portière d’un coup sec et monta à l’avant de l’automobile. Il démarra et la voiture s’engagea à travers les rues et avenues de la grande ville. A l’intérieur du véhicule, la jeune fille ne distinguait rien tant l’obscurité était profonde. Pourtant, elle ne perdit pas espoir et elle chercha la portière en tâtonnant dans le vide. Lorsqu’elle la trouva enfin elle tira dessus en tous sens et de toutes ses forces. Mais, malgré tous ses efforts la poignée ne bougea pas d’un pouce. Prenant enfin conscience de ce qui lui arrivait, elle fondit en larmes. Que pouvait-elle faire ? Elle savait que ce moment devait arriver mais jamais elle n’aurait pensé que l’épreuve serait aussi difficile et qu’elle se présenterait si tôt. Elle se retrouvait seule face à l’Ennemi, elle qui n’avait jamais été seule et qui ne pouvait pas l’être. Elle ne savait même pas où cette voiture la conduisait. Mais elle se doutait bien que son conducteur l’emmenait hors de la ville vers un danger imminent. Un long moment après, qui lui sembla infini, la voiture s’arrêta brusquement. La jeune fille entendit la portière avant s’ouvrir et se refermer, puis les pas de son ravisseur contournèrent la voiture et il stoppa sa marche lente et inquiétante. La jeune fille sécha ses larmes et frissonna, prête à se défendre et à se battre s’il le fallait, et elle savait qu’il le faudrait. De sa main droite, elle chercha sous sa veste son pendentif. Lorsqu’elle le trouva enfin, elle le serra comme jamais encore elle ne l’avait fait. Ainsi qu’il l’avait toujours fait jusqu’à ce jour fatidique, il lui prodigua la source de chaleur dont elle avait bien besoin à ce moment. Elle rassembla tout son courage et chercha au fond d’elle le peu d’espoir qui lui restait. La portière s’ouvrit dans un bruit singulier. Le temps du voyage dans le noir avait rendu ses yeux sensibles à la lumière qui les éblouit. Alors que ses yeux recouvraient leur faculté, son corps tout entier fut secoué de frissons et une sueur froide lui coula le long de l’échine. Ce qu’elle vit fut plus que tout ce qu’elle avait pu imaginer et _malgré elle _elle hurla de tout son être :

" OLYMFF!"

Ben c'est bine joli tout ça ! On attend la suite Le seul truc, c'est qu'on a aucun indice du lieu, de l'époque, du temps où l'on se trouve...mais bon j'imagine que c'est fait exprès.
Même si je ne suis pas particulièrement fort en orthographe, je n'ai pas detecter de fautes flagrantes (même si je t'avoue que je n'ai pas vraiment pris le temps de chercher ^^) Fait juste attention à certaines répétitions, au début par exemple. Mais sinon c'est pas mal. Bonne ambiance, bonnes descriptions, tu choisis bien tes qualificatifs. C'est du bon boulot

OUaip pour le manque d'indices spatio-temporels c'est fait exprès, c'est l'entrée en matière, les informations viendront plus tard dans la suite du roman

Et pour les répétitions c'est fait exprès aussi, c'est pour marquer une certaine lourdeur, celle des pas du gars, celle de la vitesse de la fille qui essaie de s'enfuir, mais qui évidemment n'y arrive pas. En tout cas, c'est lourd, oui, masi c'est fait exprès Merci pour ta critique qui m'aide

Ah ben alors c'est super recherché ton truc mdr. Je sais pas ... mais ça me donne pas vraiment l'effet recherché en fait ... peut-^tre que c'est parce que je suis bête je sais pas ^^ 'fin bon moi c'que j'en dis

Je penses surtout que c'est parceque j'ai pas trouvé le bon moyen pour faire ressentir cet effet lol. Je l'ai dit au début, ce texte date de la 6e, enfin non vu le nombre de fois que je l'ai changé, cette partie date du début de cette année. Je suis encore au début, y a toujours quelque chose à modifier, mais si je le mets sur le forum, c'est pour avoir des critiques qui me montreront ce que je peux encore changé. Tu te débrouilles très bien pour ça, mais les autres alors ?? Allez-y voyons, n'ayez pas peur

Je suis emballée!!! j'attends la suite monsieur! que les indices temporels manquent rend la nouvelle beaucoup plus intéressante! ça met une part de mystère, lol. y a quelques petites répétitions avec le "elle", mais c'est à peine perceptible. le reste est très bien, et le cri de la fin..... il me tarde de savoir ce que c'est!!!

Pour les répitions du début, je les trouve très bien comme ça: les répitions donnent plus de..... raaaaa je trouve pas le mot...... d'inquiétude?? non c'est pas ça... oh c'est chiant!ça m'énerve, bon vous m'avez comprise.

Bravo! J'ai bien aimé ! Le fait qu'il n'y ai pas d'indices de lieu, de temps... donne envie de lire la suite pour avoir ses informations!
Je ne suis pas un pro en orthographe mais j'ai trouvé deux petites érreurs ( ce sont peut-être des fautes de frappe) que je me permet de corriger ( ça peut toujours aider):
*Les siens résonnaient à peine sur les dalles glacés (glacées) de l’allée
*A l’intérieure ( l'intérieur)du véhicule
Sinon, l'ensemble est plutôt bien, ce début soulève beaucoup d'intrigue et on attend la suite pour y trouver des réponses!!
Et moi aussi, j'attend de savoir ce qu'est ce cri!!
Bonne continuation de ta nouvelle ou de ton roman ( c'est quoi au juste?)

J'arrive un peu tard désolé, mais je tiens à dire que j'ai bcp aimé ta nouvelle . On se prend vite dans l'histoire et effectivement, on est impatient de connaître la suite .
Juste un petit reproche :

Citation :

Un long moment après, qui lui sembla infini,

Dans cette citation, je trouve (j'ai peut-être tort ou alors c'est fait exprès) que ça ne sert à rien de rajouter "qui lui sembla infini". On sait déjà que le moment est long, donc cette info me semble inutile. Ou sinon tu peux enlever le "long", ce qui donnerait : Un moment après, qui lui sembla infini". De cette façon, on comprend tout à fait que le moment a été interminable .
Je sais pas si j'ai été très claire .

oooh ça faisait longtemps ce truc là.... bon oké je m'abstiens de commentaires je te laisse à tes fans

Merci à tous ceux qui ont mis des critiques et les autres n'hésitez pas, je les attends avec impatience. Je suis contente que ça plaise à certains d'entre vous Anna tu peux aussi critiquer tes remarques sont toujours les biens venues. Je mets la suite qui déoslée est longue, mais je voyais pas comment la réduire sans couper le fil conducteur de l'histoire....

Les rues étaient couvertes d’une étrange pénombre. Pas un bruit, pas un souffle. Rien. Une odeur âcre et lourde s’était répandue en tout lieu. La cité de Timoht dormait, ne respirait plus, telle une bête attendant sa proie. Toutes les fenêtres et toutes les portes étaient fermées, les lampes étaient éteintes, car les Timohtiens n’enfreignaient pas les règles du couvre feu. Pourtant quelque part une lumière était encore allumée. C’était au deuxième étage d’une grande maison, isolée des autres. Une ombre se reflétait à travers la seule fenêtre de l’étage, celle d’une femme. Elle était assise sur une longue chaise en osier, déposée sur un sol aussi dur et froid que la pierre. Un feu crépitait dans une vielle cheminée. Un silence de mort imprégnait la pièce ainsi qu’une odeur pesante. Une chaleur presque étouffante régnait en ce lieu qui dégageait la tristesse comme la peur. Le visage de la femme n’était pas éclairé, son corps seul apparaissait. Ce corps dont l’esprit s’épuisait mais qui n’avait pas perdu sa grâce et sa beauté d’autrefois. Elle portait une longue robe aussi noire que la nuit, simple mais qui mettait ses formes en valeur et qui par sa richesse montrait quel était son rang. Elle soupira : « Où peuvent-elles bien être ? » Au fond de la salle, une porte s’ouvrit et un homme pénétra dans la pièce. La femme ne sembla pas s’apercevoir de sa présence. Celui-ci s’approcha d’elle, puis déposa un baiser au sommet de sa tête. Elle ne fit toujours aucun geste. Il murmura : « Mère ». Profondément absorbée par ses pensées, elle ne daignait même pas remarquer son fils. Il insista : « Mère ! ». Sursautant, elle répondit enfin : « Oh! C’est toi. Je ne t’avais pas entendu entrer. ». Le jeune homme contourna le fauteuil et vint se poster devant sa mère. «Oui, je m’en étais aperçu » murmura-t-il avec un sourire compréhensif. Levant lentement la tête, elle dit : « Pardonne-moi. »
De ses grands yeux, elle contempla son fils. C’était le portrait de son père : si beau et si dur à la fois.
Il était vêtu d’une tunique brune, faite dans un très beau tissu et de très bonne qualité. Cette tunique couvrait un long pantalon noir, très simple et plutôt ample. Une ceinture en cuir, d’une couleur similaire aux reflets du soleil, soutenait ce pantalon, ainsi que la tunique. A cette ceinture pendait gracieusement une épée enfouie dans son fourreau en daim. Ses bottes, en peau de dragon, couvraient ses longues jambes jusqu’au genoux. Il avait revêtu sur ses larges épaules une longue cape en velours du même noire que son pantalon. Il était âgé de dix sept ans. D’une taille supérieure à la moyenne dans le pays de Timoht, le jeune homme possédait de longs cheveux roux qu’il laissait tomber sur ses massives épaules. Sa précoce sagesse rivalisait avec celle des Plus Grands ainsi que son incroyable force avec Les Cawalis. Contrairement à sa mère il avait les yeux d’un noir très profond, ses lèvres étaient très fines et ne laissaient jamais passer un sourire depuis leur disparition. Son nez, dont les narines étaient un peu trop larges, frémissait à chaque émotion. C’était vraiment un assez bel homme courtisé par de nombreuses femmes, mais jamais il n’avait laissé de place dans son cœur pour une autre que sa mère.
Malgré la pénombre, le jeune homme devina que sa mère était soucieuse et su tout de suite quel était l’objet de ses pensées : « Vous pensez encore à elles ? » La mère fut prise de tremblements : « Oh ! Si tu savais ! Je me fais tellement de soucis pour tes sœurs ! » L’adolescent ne parvint pas à maîtriser la colère qui l’envahit à ce moment. « Mère ! Je vous en prie ne les appelez pas comme cela ! Ce ne sont pas mes sœurs, nous n’avons pas le même sang ! »
« Rowcard, arrête ! » dit-elle dans un cri.
Elle se leva brusquement et son visage fut alors éclairé de plein fouet. Malgré la colère et la souffrance qu’elle ressentait à ce moment-là, son visage ovale n’en perdait pas moins sa beauté. Ses yeux, d’un bleu trop pur, étaient les seuls à laisser ressortir ses sentiments. Ses traits étaient tendres, son nez aquilin, ses lèvres d’un rouge pourpre. Elle avait un port de tête digne d’une reine, et s’en était une. Ses longs cheveux d’un brun terni par le temps, qui étaient ornés d’un diadème en or, tombaient en cascade, dépassant largement sa taille. Elle n’aurait pas du se lever car ses jambes ne supportèrent pas cet effort.
« Mère ! » cria le jeune homme, regrettant amèrement ses précédentes paroles. Il se précipita vers sa précieuse mère et la rattrapa avant qu’elle ne touche le sol. Puis il la fit asseoir sur la chaise et prit ses mains qu’il caressa avec amour.
« Mère, vous m’avez fait si peur. Pardonnez-moi, je ne parlerai plus d’elles. Vous savez que vous êtes malade, vous ne pouvez pas vous permettre de tels efforts. » Malgré le fait évident que la reine avançait, lentement mais sûrement, vers la mort, Rowcard se refusait à voir sa vie future sans sa mère à ses côtés. Alors, les yeux de la jeune femme se remplirent de larmes, la douleur s’était rouverte en elle. Sa voix tremblait lorsqu’elle prononça ces mots : « Je les aime tellement ! »
C’était la première fois qu’il voyait sa mère dans cet état depuis la mort de son père. Comprenant l’amplitude de sa douleur, il se calma et la prit dans ses bras. Tout en lui caressant la joue, il lui dit : « Oui comme vous les avez toujours aimé, surtout après leur enlèvement. »
La reine n’avait pas l’habitude de montrer ses sentiments, alors elle se contint et reprit son masque impassible… Sa voix était beaucoup plus ferme lorsqu’elle lui dit dans un soupir « Nous avons tellement besoin d’elles, le temps presse. »

super! j'aime vraiment beaucoup! De plus, un truc que j'apprécit ebormément, c'est que ca laisse place a l'imagination... tu ne décris pas trop, a apr pour les personnage, tu situes, mais tu ne fixe pas.. comment expliquer ca... hum... bon enfin j'espere que tu as compris. J'espere que tu va continuer comme ca!
sinon, avec la premiere partie, c'est une des filles qui est enlevée? j'arrive aps a comprendre exactement le lien

Oui moi aussi, j'apprécie beaucoup ta nouvelle . MAis, comme Vertu, j'ai du mal pour la transition. Remarque, c'est peut-être fait exprès pour ne pas révéler tout de suite qui est cette jeune fille enlevée au début .
Sinon, juste un petit détail (encore dsl):

Citation :

Profondément absorbée par ses pensées, qu’elle ne daignait même pas remarquer son fils.

Je trouve que la formulation de cette phrase est incorrecte.
Tu pourrais dire : "Profondément absorbée par ses pensées, elle ne daignait même pas remarquer son fils." ou "Elle était si profondément absorbée par ses pensées, qu'elle ne daigna pas remarquer son fils".
Voilou, sinon le reste est très bien. Il y a si peu de fautes qu'elles ne sont pas dérangeantes.

Alors je vais répondre par étapes :

_ pour la citation le "qu" est un oubli, j'ai corrigé mon text mais apparemment j'ai oublié quelques trucs
_ Pour le lien...bah...il faut attendre la suite !! :perfect C'est sûr que là vous pouvez pas trop comprendre de quoi il s'agit...c'est ce qu'on appelle parfois le suspens mais vous inquiétez pas c'est tout à fait normal
_ et Mélora n'ai pas peur dis moi toutes les fautes que tu vois...ce projet est assez important pour moi je veux qu'il soit IMPECABLE ...comme moi ... ok je sors

et chamelon qui prend la grosse tete^^:p
et je suis okai pour le suspence, je prennais cette possibilitée, et apres, j'avais peur que wala, je sois une boulet, et que j'avais pas compris... mais c'est pour ca que j'attend la suite...

Y'en a peut-etre une qui prend la grosse tête :p, mais y'en a une autre qui nous fait un complexe d'infériorité (hein Vertu). T'inquiètes t'es comme tout le monde et pas plus bête qu'un autre , et t'es pas une "boulet" .
Sinon pour les fautes je re cet aprem parce que là j'ai pas trop le temps dsl.

Vous inquiétez pas pour ma tête , elle est aussi petite qu'un petit pois ou une niox c'est plus joli et ça me ressemble plus je crois ^^ je suis de nature timide et modeste quoi qu'il en soit Vertu ne t'abstient pas, je veux pas que vous hésitiez à dire certaines choses même si elles vous paraissent stupides ou ptet fausses. Moi je veux tout savoir

je suis pas une tres bonne critique littéraire...et pour les fautes d'orthographes mais si je vois quelque chose je te le dirais avec plaisir^^. c'etait une blague pour la grosse tete^^ moi aussi je suis timide... ou alors tres exubérante, il y a jamais de juste milieu!

Citation :

Mélora à dit(elle l'à écrit mais bon):Y'en a peut-etre une qui prend la grosse tête :p, mais y'en a une autre qui nous fait un complexe d'infériorité (hein Vertu). T'inquiètes t'es comme tout le monde et pas plus bête qu'un autre , et t'es pas une "boulet".

hum! queske vous avez contre les boulet?
t'inquiète pa vertu, ici le boulet, c'est moi!

T'inquiète ! personne a envie d'être un boulet, on te laisse cette oportunité !^^