[CHAPITRE 2]-A l'attaque du Pyromage !!!

Ecoutant attentivement la conversation autour du nuage, je regarde à mon tour le ciel. Effectivement, il s'assombrit de plus en plus. Et il suffit de quelques secondes pour que nous n'ayons plus qu'une gigantesque masse noire et inquiétante au dessus de nos têtes. La petite fée plaque les mains sur ses tempes, j'ai l'impression qu'un bruit strident résonne dans sa tête. Mauvais signe. Elle nous jure alors que ceci n'est pas qu'un simple orage et supplie d'aller se réfugier sous les arbres.
Le temps presse si nous voulons éviter les ennuis. Mais voyant que tout le monde n'est pas convaincu et que la moitié de la troupe n'a pas entendu la petite fée ; je prend haut et fort la parole.

- Ecoutez tous ! Nous avons de fortes raisons de penser qu'un danger est imminent ! Regardez le ciel et vous en serez convaincus.
Gallis propose d'aller se réfugier en forêt, et je suis de son avis. Il est trop risqué de se séparer, alors suivez-la. Elle nous montrera le chemin.

Mon arc est sur mon dos et une de mes mains le frole, prête à le saisir. L'autre se prépare à attrapper une flèche pour la décocher. On ne sait jamais, mieux vaut être prudent...

Sans attendre, et entendant l'approbation de l'une des femmes, je cours presque sous le couvert des arbres en faisant signe aux autres de me suivre.

edit: pour justifier nos posts croisés.

Je me dirige vers l'abri formé par les arbres quand tout à coup je vois nakor partir en courant suivit par Kob.
Sans réfléchir je me lance à sa poursuite voyant là enfin de l'action.
Je m'adresse aux autres en partant

Restez ici on vous rejoint.

Gorfaz n'a jamais été très doué pour se dissimuler et en voulant suivre se groupe il s'est fait tout de suite repérer. Dès qu'il est vu il part en courant, filant à travers les arbres espérant arriver à se cacher.

14H37==>2

Mais il n'a plus les jambes de sa jeunesse. Gorfaz est très rapidement essouflé et commence à trébucher sur toutes les racines

Les poursuivants lancent un dé chacun
1-2 : ils se prennet les pieds dans des racines, chutent et perdent gorfaz de vue.
3-4 : ils restent au contact et se rapprochent de plus en plus
5 : Gorfaz tombent et ils le rattrapent

Milamber a -1
Kob a +1

*Nakor commença alors une couse effréné, sans attendre que ses amis le suivent, il jeta bien un regard furtif derrière lui mais n'était pas sur de qui le suivait. Il poursuivait l'étrange homme depuis déjà 5 bonnse minutes. Il avait affaire à un adversaire coriace et les jambes de Nakor le brulait mais il courait encore et toujours, après ça il courut encore... Il trébucha er ses amis le rartrapèrent au bout de quelques instant ce qui lui permit de reprendre son souffle et dans un même effort il annonça : *

-Il est presque à bout, j'entendais son rale...Il faut continuer, le premier qui arrive à sa portée lui saute dessus, et il recommença a courir comme s'il avait la mort aux trousses!

Edit Karion = fait le jet de dé Là tu as 2 donc tu tombes :p:

Rejoignant Nakor, Kob aperçoit le monstre dans un éclair. Il a repéré sa proie Il fond sur lui aussi rapidement que ses jambes le lui permettent.
((dés::5))
Le rattrapant, il voit la grosse masse difforme qui s'étale alors par terre. Tout à coup, le voyant dans une position aussi ridicule, Kob est pris d'une envie de rire. Mais il se jette tout de même violemment sur le monstre, et, lui appliquant son genoux en plein milieu du dos, il le maintient au sol.
- J'ai qu'à attendre l'autre gros barbare et il lui fera son compte, je suis pas doué pour les coups fatals.
-EEEEEEEEEHhhhhhhh la compagnie, j'ai eu l'autre groslard !!!

J'ai un peu de mal à suivre Kob, il a la forme ce garçon.
Je le rejoinds enfin, essouflé pour le trouver avec un homme à ses pieds.




C'est qui cui là ? Il nous espionnait ? Faut le faire parler ?

Carresse le tranchant de sa lame

*Nakor se remit d'applond en un éclair ce qui fit gémir son dos^^ mais retrouva Kob' qui était en très bonne compagnie, il aida ce dernier à maintenir l'individus à terre et attendit les renforts.*

Bon travail ! on n'y serai pas arrivé sans toi! lança t'il avec un sourire montant jusqu'à ses yeux.

-C'est toujours un plaisir de rendre se service, répond Kob, assez fier de lui. Bon allé mon grand monstre, on se lève et sans remous !!
Kob jette un regard interrogateur à Kaboum:
- Tu m'aides ?

Ben moi ça me dérangerai pas de couper une tête mais bon vous croyez pas qu'on devrait le ramener aux autres et essayer de savoir ce qu'il faisait là ?

Voyant mes deux compagnons acquiser j'assome l'homme et le prend sur mes épaules. Je retourne ensuite sur mes pas vers nos compagnons

Voila qui devrait éclaicir la nature de ce ciel un peu trop noir.
-Félicitations!! Vous l'avez ramené. Dans l'état où il est on ne va pas en tirer grand -chose pour le moment mais on pourra l'interroger quand il se sera réveillé!

Recroquevillée dans un coin, le front appuyé sur les genoux, je tâche d'oublier la douleur qui vrille mes tempes. Ca fait si mal...j'en ai presque les larmes aux yeux.
Je perçois la présence de quelques personnes autour de moi, mais je ne parviens pas à les identifier. La rage commence à me gagner, tant j'ai l'impression de me sentir inutile. Si le mal qui émane déjà me fait tant souffrir, comment pourrais-je leur servir dans cette lutte ? Je vais devoir apprendre à me couper de cette douleur...

Puis, brusquement, le cri aigu s'arrête, comme s'il n'avait jamais existé. Je relève la tête, pour voir quelques personnes s'approcher. Malgré ma vision troublée, je peux distinguer la source de ces ombres sur les épaules du plus grand d'entre eux.
Ma colère ne fait que croître en voyant enfin celui qui a déclenché cette souffrance, et je me lève en chancellant :

Je serais curieuse de savoir ce qu'il faisait là.

Peut-être qu'il ne parlera que sous la torture...gnéhéhé....oh ce n'est pas moi qui peut penser cela !

-Bon voila, on vous le ramène vivant ...
*jette un coup d'oeil au tas de chair que transporte Kaboum*
-...enfin à peu près. On va attendre gentiment qu'il se réveille en l'attachant à l'arbre là, et puis on lui posera quelques questions.
Puis voyant la mine de la fée, il demande anxieusement:
-Tout va bien ?

Eh ben vous voyez, c'était pas grand chose. On en fait quoi ? On le fait cuire ?

J'adresse un petit sourire au rôdeur :

Oui, merci, ça va à peu près. C'est à cause de ces nuages...ils étaient maléfiques.

Je regarde la créature attachée. Et si la douleur reprend quand il se réveillera ?

Regarde la fée d'un air provoquant

Eh OH ! T'arrête de draguer tout s'qui bouge toi ?
Nan mais oh.

Je me tourne vers l'ogresse avec un sifflement de chat en colère, mes yeux violets brillant dangereusement :

Contrairement à vous, Dame Ogresse, je peux sourire à quelqu'un sans le "draguer"! Rassurez-vous je vous laisse votre rôdeur !

Puis, m'entendant, je porte une main à ma bouche. D'où me vient cette agressivité soudaine ?

Eh bein il a du succès celui la pour qu'une fée et une ogresse se disputent
-Pour l'instant, on devrait pouvoir continuer notre chemin en attendant que l'autre se réveille sans qu'un nuage qui gache le soleil. Et évitons d'installer des tensions entre nous, sans vouloir vous vexer toutes les deux.

J'installe aucune tensions, mais madame nous joue ses grands airs... On croirait presque entendre les violons derrière, et tout l'orchestre, mais bah, tant pis, j'irai à Lopeurah une autre fois comme on dit hein.

Soit, continuons, la journée s'avance.

Fière d'elle, elle avance en siflotant paisiblement le long du chemin.

Nakor, sans qu'aucun son ne sorte de sa bouche, continua d'avancer avec le groupe et d'observer conciencieusement l'homme capturé...Il ne savait que penser...mais il continua d'avancer sans trop se poser de questions...

Ahhh, notre méchant a été capturé, Gallis peut enfin souffler. Mais voilà qu'elle commence à se disputer avec Gnofuh à propos de Kob'. Et l'ogresse qui continu :

Citation :

J'installe aucune tensions, mais madame nous joue ses grands airs... On croirait presque entendre les violons derrière, et tout l'orchestre, mais bah, tant pis, j'irai à Lopeurah une autre fois comme on dit hein.

- Bon mais vous arrêtez de vous chamailler toutes les deux oui. Y'a déjà assez de problèmes comme ça. Qu'est-ce-que vous lui trouvez d'abord à ce rodeur hein ?

-Hum.. hum...mesdames je vous en pris ... ça ne sert à rien voyons ... je ... hein ? Comment ça je rougis ?

Se retourne

Que voulez vous Dame Mélora, il est fort charmant, ce n'est tout de même pas ma faute !

Regarde avec satisfaction (et une pointe de plaisir à moitié dissimulé) Kob qui rougit

Je vous rassure, vous êtes encore mieux quand vous rougissez !

Rigolète doucement