Cadavre exquis nouvelle version.

Kob' trouvant que l'autre cadavre étais mort, ici, il y en as un autre.
les regles:
1) de l'imagination,
2) autorisation de "partir en live"( c'est a dire de délirer, sans que ca devienne du gros flood qui tache)
3)passages très court ou au pire si on est motivé plus long, mais en privilégiant quand même le court.
4)pas grave si on part dans tout les sens, le but n'etant pas de faire un roman. Donc : on ne met pas au point à l'avance une trame principale que chacun devra suivre comme dans l'autre.
5)pas de tours de rôles
6)des chansons(ca c'est un eptit plus de ma part)
7)ce cadavre exquis est toujours dans le dommaine de la SF et de la fantasy.
rho je sais pas, mais je pense que les modo se ferons un plaisir de pourrir mon post

ahem, pas une trame principale, tu va finir par faire fuire kob', non, juste le premier bout de not' cadavre, je rapelle que c'est pas pour faire un roman! le roman, il est la bas, tu sais, dans l'autre cadavre que on veux abandonner au charognards...
pour les chansons je trouve ca cool que tu soit super d'ac^^

Bon résumons.
On attends la rentrée.
(pratiquement) Tout le monde participe.
PAS DE TRAME
Si certain(e)s sont motivés pour continuer l'autre, c'est avec Grand PLaisir.
J'ai oublié des trucs ?

Tu crois qu'elle m'en voudra Vertu si je commence ?

Je commençai à desservir la table. La lune était bien visible dans le ciel et les derniers clients venaient de quitter l'auberge: j'allai pouvoir rentrer quand j'entendis trois coups frappés sur la porte. Surpris par l'heure tardive à laquelle arrivaient ces clients, j'allai ouvrir la porte.

On écrit l'histoire en italique finalement?

Mais avant que j'arrive jusqu'à la porte elle s'ouvrit devant moi laissant apparaitre un vieil homme à la barbe argentée s'appuyant sur un baton ainsi qu'un jeune guerrier portant une lourde épée à ses côtés. L'aieul entra sans me demander la permission, me saluant d'un simple signe de tête et alla s'installer avec celui semblait être à ses ordres à une table de l'auberge. Il s'exprima ensuite d'une voix forte et claire-ce qui me surpris étant donné son age- pour demander qu'on leur apporte à manger et qu'on lui prépare un endroit où dormir

Citation :

On écrit l'histoire en italique finalement?

Ben faut différencier l'histoire des commentaires et comme on a écrit jusque là en normal, on devrait écrire l'histoire en italique. Mais pour faire comme partout, je vais mettre les autres posts en italique et on écrit l'histoire en normal. OK ?

Nornhan obéit, sans oser contredire ces deux mystérieux étrangers. Il ne connaissait pas leur réaction en cas de refus de sa part, et préférait éviter toute altércation, surtout que le jeune homme accompagnant le vieillard avait l'air bien bâti et soldat aguérri.
"Je vous prépare ça tout de suite"dit-il.

Très interessant tout ça !
Une note au passage, que je ne puis retenir, veuillez m'excuser....
- Karion, mets des virgules s'il te plait !
Bon, Vertu, c'est grave si je zappe ton post ? Tu pourras tout foutre en l'air le mien si t'as envie !
Hop !


Nornhan partit vers les cuisine donner des ordres d'un pas assez peu fiable. Je me ravisais. Finalement, je restererais, rien que pour observer cet individu quelque peu inhabituel. Il était rare de voir des étranger dans le village, et je n'avais pas envie d'aller rejoindre ma geignante Madis.


Madis : sa femme

Bon Vertu on te blame pas, c'est pas un gros problème hein C'est juste que personne n'a compris et pis voila ... ca peut arriver à tout le monde. Pis t'as pas besoin de refairze ton post, on continue comme ça, non ?

Je m'assis donc à ma table favorite, près de la grande cheminée de la pièce. Je ne sais même pas si les deux étrangers avaient remarqué ma présence, mais si c'était le cas, ils n'en montraient aucun signe. Je vis Nornhan revenir des cuisines, avec dans une mains deux chopes et dans l'autre deux assiettes de viande et de pain. Il les tendit aux deux hommes qui hochèrent la tête, dans un signe d'aquiesement, ou de remerciement. Je ne sais d'où me vont cette impulsion, mais je me levai soudain et rejoignit à pas lent la table des étrangers.

J'observais celui qui parraissait diriger les choses. Il était petit, assez agé, et semblait penser que tout ce qui passait devant ses yeux était méprisable. Il avait un drôle de nez qui se terminait en deux boules, qui lui enlevait tout air méchant pourtant si vainement travaillé. Lorsque je parvint à leur table, je ne me controlais pas vraiment, il y avait comme une force qui me poussait à agir. Ils m'avaient vu, ils me regardaient, l'un perplexe, l'autre imparable. Je ne pu me retenir :
" - Vous... Vous avez un drôle de nez."

J'écarquillais les yeux, et plaquais ma main sur ma bouche, horrifié.

et puis zut si ca vous plait pas! kob', tu as dit toi meme qu'il ne fallais pas influencer les autres

Le vieil homme me regardais d'un air halluciné, pendant que le jeune homme explosais d'un rire tonitruant.
- HAHAHAK! SI J'AVAIK CRUK SAK!
Il se leva, et gentiment me fit signe de m'assoir.
-AUBERGIKSTE, UNE CHOPKE!
Les mains toujours collée sur la bouche, je le fixais d'un air incrédule.

Je ne parvenias plus à comprendre deux choses: Ce que j'avais dit, et la réaction de l'homme. N'osant ni partir à toute jambes ni me refuser son invitation, je m'assis sur la chaise qu'il me tendait. Le vieux plissait les yeux, et quand je croisai ce regard, j'y vis une lueur de compréhension, comme si quelque chose qu'il ne comprenait pas venait de lui apparaitre comme un évidence. Le silence s'installa entre nous et je n'avais jamais été plus gêné de ma vie. Cependant les deux guerriers n'avaient pas l'air dérangé le moins du monde. Nornhan revint alors des cuisines et me tendit ma chope. Au moment où je tendais le bras, le vieil homme me saisit le poignet avec force. Mi-surpris mi- térrorisé par ce geste, je restai le bras tendu, quand d'une voix grave, il m'annonça:

"Tu est l'élu! De ton courage et de ta force dépend l'avenir du monde! Rend toi à Goron-Dûm, l'ancienne cité naine, tu trouveras le Maître mage Nulgir qui t'apprendras ce que tu dois savoir! Pars maintenant, pars!"

Le viel homme parut soudain inerte, comme atteint tout d'un coup par le poids de l'àge, sa barbe perdit son teint argenté et brilla de plus en plus faiblement jusqu'à devenir blanche puis grise, à ce moment le magicien s'éfondra de sa chaise et tomba au sol, certain clients qui fréquentaient encore l'auberge à cette heure tournèrent la tête surpris par le bruit mais quand à l'instar de l'aubergiste ils s'approchèrent de la chaise de l'ancien, ils ne virent rien.
Leur déception de ne rien voir de suspect n'était rien face à la stupeur du tavernier, encore abasourdi par les dires du vieillard il n'avait pas encore assimilé ce qui avait suivi les paroles. Il récapitula dans sa tête comme il en avait l'habitude lorsque les choses devenaient incompréhensibles, un vieil homme étrange et un barbare entrent dans son auberge, il s'approche d'eux contre son gré, le vieil homme lui propose de boire avec lui de façon joviale, puis il profère des paroles étranges concernant le fait qu'il devait sauver le monde en allant voir des nains, et enfin le vieil homme meure devant lui sans raison et son corps se volatilise, décidément, la magie est à l'oeuvre. Et en bon fils de fermier, Nornhan déteste la magie.

Citation :

certain clients qui fréquentaient encore l'auberge à cette heure tournèrent la tête surpris par le pris mais quand à l'instar de l'aubergiste ils s'approchèrent de la chaise

Y a pas comme un soucis dans ta phrase là ?



Je laissai les clients et l'Aubergiste faire un scandale, je titubai rapidement vers la sortie. Une fois dehors, je respirai un grand coup, me redressai, je n'avais fait qu'un mauvais rêve, cet inconnu n'était jamais venu dans cette Auberge, j'allais rentrer chez moi, boire un coup, et dormir. Le long du chemin, je regardais autour de moi. Les étoiles surplombaient le village majestueusement, cette nuit d'été était fraiche, elle sentait les dalias, la verveine et les pissenlis. Je connaissais ma route par coeur, je me permettais souvent de somnoler un peu vers la fin. Le sentier tournait légèrement à gauche, quand une lueur attira mon attention devant moi. Je levai la tête, et trouva... Une éspèce de boule à pattes, des feuilles sur le dessus, et deux énromes yeux luisants, d'un jaune verdâtre assez pénétrant. La "chose" ou "bête", me regardait.

Je sentis une grande torpeur envahir brutalement mon esprit. Je n'étais plus en état de penser, je n'étais plus moi-même. La "chose" avait entièrement pris le contrôle de mon esprit, je le savais. Alors se produisit un déclic en moi, qui marqua un brusque retour à la réalité. Quand j'ouvrai les yeux et regardai à nouveau où la "bête" avait fait son apparition, je ne vis qu'une place déserte et froide ... elle avait disparu. En revanche, en moi venait de naître une certitude qui surpassait en puissance toutes les autres: J'étais l'Elu, et j'allais rencontrer Nulgir, à Goron-Dûm .... le plus rapidement possible.

Je n'avais pas réélement envie de revoir ma femme avant de partir... Je décidais de partir immédiatement. Aussitôt un problême survint : Par où aller ? Au hazard, car le goût de l'aventure commençait à me titiller, je continuais sur ma route. Car je savais qu'il y aurait bientôt un croisement, à gauche, le chemin menait chez moi... et l'autre chemin... allait je ne savais où. Je réalisais que... eh bien, une envie profonde de décamper de ce village perdu était ancrée au fond de moi. Je la sentais ressortir violement, avec toute la puissance que l'imagination peut atteindre lorseque l'on est gosse.

***

J'avais pris le second choix. Je n'étais pas rentré chez moi, et au carrefour suivant, j'avais pris à gauche. J'étais seul, je n'avais que moi, et un sentiment de peur mélé profonde solitude s'emparait de moi. Les heures aivaient défilées, l'Aube devait apparaitre dans peu de temps. Je me sentais las. Je levais la tête, puis m'assis sur un bout d'herbe sur l'accotement. Je m'endormis rapidement. Peu être un peu trop.

La tempête fait rage. Dans cette nuée de poussière, je ne distingue plus rien, toutes les images sont flous et je n'aperçois que des ombres fuyantes et inquiétantes. Je trébuche et me retrouve le nez contre le sol. J'ai du mal à respirer car la poussière me pennètre jusqu'au plus profond de mon corps, de mon âme. Mon regard se noircit ... que m'arrive t'il ... une ombre, plus grande que les autres m'apparait, s'impose, grandit, m'envahit ...

Je sursaute. Le réveil a été brutal, et je suis trempé de sueur ... ce n'était qu'un rêve mais .... mais d'où me vient ce goût de poussière dans a bouche ...

Ce goût de poussière ne devait être que le prduit de mon imagination, les rêves devaient un peu trop empiéter sur mon esprit à cause des évenements de ses derniers jours.
Pour l'instant je ne savais pas ou j'allais et je ne pouvais pas demander mon chemin, alors j'ai pris le chemin principal qui menait vers une forêt. J'avais marché jusqu'à midi et au moment ou me suis assis j'ai senti une présence derrière mon épaule suivi d'un craquement de branches. Un frisson monta en moi et je me retournai brusquement.

********
Madis commençait à s'inquiéter. Cela faisait environ 1/2 H que son mari aurait du rentrer. Il empiétait toujours de 5 ou 10 minutes, mais jamais il n'avait été aussi en retard, et cela n'allait pas. D'habitude, ils se couchaient 1/4 h après que son mari soit rentré, mais là, ça ne pouvait pas, puisqu'il n'était pas là. On toca enfin à la porte. Mi-soulagée, mi-surprise, Madis se dirigea vers l'entrée de la maison. Elle ne comprenait pas pourquoi son mari prenait la peine de frapper à la porte ... mais qu'importe, il était rentré et seul cela importait. Quand elle ouvrit la porte, deux mains lui fermèrent la la bouche et la prirent par la taille fermement. Deux minutes après, elle se retrouvait ligotée sur un des chaise du salon. Elle ne put distinguer la figure de ses agresseurs dans le noir, par contre la voix du plus grand lui arriva comme une pointe glacée dans les oreilles:
-"où est-il?"

Un vent froid et mordant dissipa mes inquiétudes, je me relevai tant bien que mal et continua de suivre route afin de chercher un abri contre la tempête. Je repérai une taverne de voyageurs un kilomètre plus loin et m'y rendit d'un pas précipité malgré le vent qui se faisait de plus en plus rapide devant moi, poussant avec force sur mon torse, me faisant presque reculer au moment ou je pénétrai dans le bâtiment, comme si il voulait m'éloigner de mon but et me faire rejoindre le village.
J'inspectai l'intérieur de l'auberge qui était quasiment vide à l'éxeption du tavernier, de trois clients à l'air hagard et d'une serveuse à demi endormie. Je m'assit à une petite table vide au fond de la pièce, fixai brièvement l'individu le plus proche de moi et attendit un long moment que la serveuse s'approche de moi pour lui commander une bière bon marché. Pendant que l'employée s'en allait chercher la boisson d'un pas trainant je réfléchit une nouvelle fois à ce qui m'était arrivé, repensant au vieillard fatigué de la veille et à son sort curieux, au guerrier silencieux qui accompagnait le vieux mage et qui s'était empressé de partir discrètement pendant que le sorcier me parlait . Pendant que je reflechissait la serveuse arriva avec ma chope de bière que je saisit et but machinalement d'un trait, relevant la tête et sortant quelques pièces de cuivre de ma bourse pour la serveuse qui bougonna, le premier son audible qu'elle fit, pour montrer son mécontentemnt quand à l'abcense de pourboire.
Une grande question méritait refléxion maintenant que j'était assis et avais les idées claires, je pouvait tenter de trouver la fameuse cité minière de Goron-dûm, je ne savais que très peu de choses sur le peuple secret des Khazads, comme ils s'appellaient entre eux, ou bien comme nous les appellions, les nains. Mise à part leur soif d'or et leur haine ancestrale envers les dragons et gobelins, on ne savait rien d'eux. Si ces nains étaient ennemis des gobelins, ces orcs chétifs des montagnes, ce sont donc probablement des alliés des hommes. Probablement. J'allait me morfondre et enfoire ma peine dans la bière quand un visage familier se détacha dans l'ombre du coin opposé de la pièce, je reconnu immédiatement le jeune guerrier présent au coté du vieux mage la veille, je le vis se lever et venir s'assoir à ma table, traversant la taverne en quelques souples et grandes enjambées.

-" Comme on s'retrouve" lui lançais-je ironiquement.
Aujourd'hui, je n'avais pas le coeur à la politesse. Et il dût le sentir car ses mots ne furent ni provoquant, ni irritant, et même si ma rancoeur était grande, je le remerciai intérieurement.
-" Hier, mon maître est mort. Même si je vous ai cru responsable pendant un moment, je me suis rendu compte que vous n'y étiez pour rien.
-Et t'as entièrement raison. Jamais j'aurai pu faire un truc pareil. J'ai aucun pouvoir magique ou ce genre de choses. Et puis j'ai rien demandé moi, c'est lui qui ma foutu dans ce pétrin, et moi, indirectement, je t'en veux. T'y es peut-être pour rien là-dedans, mais j'ai pas encore trouvé le temps et la sagesse pour m'en convaincre.
Il resta un moment à me considérer. Il était jeune, bien portant, plutôt bel homme, et sous ces airs de guerriers, on distinguait une lumière de sagesse et de sympathie. C'était le genre de personnahe qui inspirait la confiance au premier regard. Perdu dans mes pensées que j'étais, je lui lançais:
-tu dois être un homme à femme toi, hein?
-Moins que vous ne le croyez ...
-mouai ... c'est vrai que moi, ma Madis me convient très bien. D'ailleurs, elle doit être très inuiète en ce moment.
Je soupirai de desespoir à cette pensée. Je l'avais laissée toute seule chez nous. Quel homme étais-je pour faire une chose pareille. Il reprit:
-Justement, je viens vous annoncer des nouvelles à son sujet ... des nouvelles graves ...

Je regardais le guerrier sans comprendre, des nouvelles graves? Mais que voulait-il? Il n'avait guère pût se passer d'évenements alarmants au sujet de mon épouse pendant la nuit que j'avais passée seul sur cette route, quelles étaient ses intentions, je n'eut pas le temps de poursuivre mes refléxions car l'homme poursuivit:"Votre femme n'est plus, un bataillons d'orcs des collines à votre village cette nuit, profitant de l'obscurité et du sommeil des villageois pour les pourfendrent dans leur sommeil ou les brûler vifs dans leur maison, vous n'avez plus rien maintenant, vous êtes seuls. Plus rien ne vous retiens sur ces terres alors faites votre deuil si vous le souhaitez mais accompagnez-moi au royaume des nains, si mon maître vous à demander d'y aller avec tant d'insistance c'est que l'enjeu est de taille, ensemble nous pourrons atteindre ces contrées et trouver les mage khazad, qu'en dites vous?"