cadavre exquis version SF

le principe est siple: on propose un début d'histoire, et les autres doivent continuer...
en option, quand on sera plus, on pourra voter pour la meilleure suite, mais jute en option!

Petite précision ::: Le post peut faire la longueur que vous voulez tout en restant une "courte histoire". Nous dirons pas plus de 30 lignes.
On met aussi en place des tours :

1-- Suzie
2-- Kobiwan
3-- Vertu
4-- Deana
5-- Anna
6-- Chameleon

tous a vos clavier!!!!

inauguration:

-------------------------(ruban) clikch-clikch(bout n°2 du ruban)-----------

ptite question... ça doit être long d'une page ou de 3 phrases ?

bon allez, je fais court comme ça je ne décide rien, ça peut être sur terre comme dans un autre monde, je vous laisse décider par la suite et c'est pour ça que mon texte ne posera rien de concret. Je vais mettre des choses qui n'existe pas, à vous de juger si il s'agit d'un autre monde, du futur de la terre ou d'un autre planète mais au présent et àvous de le faire comprendre dans votre suite. Si le perso vous saoûle, tuez-la et jouez le jeu comme si mon truc n'était qu'un prologue mais à ce moment là il faut que sa mort lance une intrigue (par intrigue je n'entends pas forcément énigme mais interet quoi)

let's go :

Aline entra dans la pièce.
Elle n'aimait pas ça, elle avait reçu un appel de son père. Son père. Quand son père avait appelé pour la dernière fois, elle avait 5 ans et il voulait savoir si elle avait le numéro de son oncle. Pffff, père indigne ! Et là elle devait le voir. Mais pourquoi dans cet entrepot ? Tout ça était très louche. Elle s'était méfiée mais elle n'avait pas pu résister et elle était venue. Et d'abord, pourquoi il était vide cet entrepôt, hein ? Ce n'était jamais vide d'habitude, un entrepôt de karcilde. Glups... Des rats. Heureusement qu'elle n'avait pas amené Dirhan, il était allergique. et de toutefaçon elle ne voyait pas en quoi ça le regardait.
"Alors tu es venue."
Elle se retourna brusquement.

(PS : alors le karcilde : hehe, là, c'est à mes successeurs de décider de quoi il s'agit, un matériaux, une nourriture, une arme... etc)

Je n'eus pas longtemps de réfléchir plus. Une vision infernale s'offrit à moi. Mon père bayonné, attaché, pieds et poings liés, couché par terre...il semblait avoir été frapper. Je pris peur et sursautai. Puis je vis celui qui avait parlé...un selfide ! Une créature ignoble d'intelligence maléfique. Un créature dont la seule véritable motivation est la vue du sang qui coule et les bruits des cris de détresse hurlant toute leur douleur et leur désespoir. Son seul nom évoquait la terreur chez toute personne un tant sois peu consciente. Mais pourquoi un selfide se trouvait-il là? Quelle motivation l'avait poussé à s'intéresser à mon père. Que possédait mon père de suffisament incroyable pour intéresser un selfide ??? Mais je n'eus pas le temps de plus de réflexion. Je perçus un rictus se dessiner sur le visage du monstre, puis de son arme qu'il tenait à la main, tira une charge qui me traversa de part en part. Je sentis la douleur me prendre à la gorge, une brulûre d'une intensité inhumaine me tenaillait le corp, et s'emplifiait au fil des secondes. Pourquoi le selfide avait-il voulu m'éliminer? Moi, petite fille d'à peine 15 ans? Et mon père? Qu'avait-il à voir avec ce monstre? Tant de question auxquelles je ne trouverai jamais de réponses.
Un dernier espoir, si infime...mais un espoir quand même. Je rassemblai toutes les forces qui me restaient et hurlai d'une voix qui venait d'ailleurs, qui transporterait ma voix au-delà des distances, des planètes....
"Dirhan .... Venge-mooiiiiiiiiiiii !!!"
Mon cri mourut dans un gargouillis de sang. Je plongeai dans un sommeil plus noir que l'abyme. Je mourrai...mais l'espoir survécut...de l'autre côté de la planète, un enfant sursauta, leva la tête, et sût que son heure était arrivée...

Oulala presque trente ^^ Quand je commence, je m'arrête plus moi. Bon mais j'ai l'impression qu'on est partit plus vers du SF là non ? Bon ça fait rien, on fera un autre cadavre sur le HF plus tard...à vous la suite :wink:
Et sinon, désolé de na pas avoir poursuivi sur la voie du karcilde mais j'étais pas inspiré...

********
je cru entendre un appel au secours, je levais brusquement la tete et laissais tomber la carafe de service.
"Dirhan? tout vas bien?"
Une douleur a la gorge me fit me plier en deux. Je compris presque immédiatement ce qui ce passais: Aline! Elle l'appelaisnparfois, mais ici ce n'etait pas normal.
Je courru vers la surveillante. Elle me permis de quitter la plate forme. Je savais que je ne passerais jamais mon master de science physique si je décidais de retourner sur Alzonk. j'vais tellement bossé pour arriver a cette place a cambridge! pourtant, rien ne pourrais m'arreter dans ma course jusqu'au bureau du proviseur. Jamais je ne laisserai tomber ma soeur.
Je serrais les poins et frappaiss a la porte de monsieur Bon'Heurt
"Entrer"
"Monsieur, j'ai une requete a vous presenter, je voudrais retourner sur ma planete natale, pour une durée plus longue que d'habitude, car il s'est passé quelque chose, je... je l'ai senti!"
"savez-vous que une absence non justifié pourrais entrainer votre renvoi?"
'oui monsieur"
"alors faite comme il vous chante"
je le detestais, je le détestais avec son cigarre nauséabond et son rictus. Mais je n'avais pas le temps de le detester sans rien faire, j'aurais tout lmon temps dans lastronef qui m'emmenerais vers Alzonk. je me renseignais a l'agence. Le prochain astronef partais dans quelques minutes... Par chance, la station etait toute a coté. J'avais tout juste le temps de fourrer des affaire dans un sac,,je saisir ma veste, et de courir vers l'astroport.
Je reussis a prendre mon astronef. J'avais exactement 14.238 minutes pour reflechir a ce départ bousculé. Mon instinct m'avais guidé, mais mon coté raisonnabe avais repri le dessus. Dans quelle navette je m'etait donc embarqué?

je pense qu'il doit y avoir pas mal de fautes, et peut etre quelques incoérence de ma part. J'oublie parfois les accent et les majuscules et j'inverse deux lettres... dans ma précipitation :

ben c'est malin, parce que la, j'ai pas bien compris... mais peut etre que deanna ,ne veut pas apres tout...
j'ai pas bien compris le:

Citation :

On met aussi en place des tours :

1-- Suzie
2-- Kobiwan
3-- Vertu
4-- Deana

je croyais que c'etait celui qui donnais le début du cadavre exquis...
c'est pas mlmarrant de dire les tours, je suis plutot pour le hasard, sinon on va attendre trois ans si un de nous a pas d'imagination, ou n'est pas inspiré! En cas de double suite, il faut faire un accord a l'amiable...

pour le perso, c'etait un peux difficile pour moi de la reprendre vu que kob venais de la faire mourir, plus ou moins gravement juste avant...
Idem pour le discours. Bon moi mon style c'est de faire des dialogue entre coupés de paragraphes de narration...
purée suzie, tu parle ch'trollement bien!! :
(j'ai enfin reussis a mettre tout le post en italique... meme la citation, je suis quand meme drolement pas douée des fois!)

édit deana: désolée, vraiment, mais, faute de temps, je peux, pour l'instant, pas participer à votre nouvelle commune.... Pasque j'ai vraiment pas beaucoup de temps en ce moment, et qu'il faut que je réponde à d'autres posts et tt... 'fin vous voyez quoi.... Mais bon, j'aurai bientôt plus de temps

Bon, finalement je réponds et poste une suite puisque j'ai un peu de temps aujourd'hui ^^ ...;
Vi, c'est une super idée, que tu as eu suz' !
Pis en fait, ton début m'a beaucoup interppelée....C'est à cause de l'histoire que je t'ai racontée ? :DD (de l'amie, d'une amie de la danse...)
Roooh, j'aurais bien voulu faire la suite en deuxième alors ! :DD
Pis sinon, vertu: "astronef", et "astroport", : ça m'fait trop marrer chsais pas vraiment pourquoi mais bon.... :

alors, alors, je m'y attaque donc : (jvous préviens: chuis pas très douée, alors un peu d'indulgence !lol )

******
"....Veuillez attacher votre ceinture, l'astronef va décoler dans quelques instants "
La voix de l'hôtesse, me sortit de mes réflexions.....Mais l'angoisse et le stress revinrent , et trop de questions sans réponses ressurgirent aussitôt....
Que se passait-il ? Pourquoi Aline m'avait-elle appelé au secours ?Etait-elle en danger ?
Bon sang, j'aurais fait n'importe quoi pour avoir ces réponses, et me trouver au côtés d'Aline .... Mais pourquoi fallait-il que mon université ne soit pas sur Alzonk ?
J'étais en plein dans mon mologue intérieur lorsque la voix de l'hôtesse me surprit à nouveau :
"Nous atterrirons dans quelques instants sur Alzonk. Veuillez attendre l'arrêt total de l'astronef pour détacher votre ceinture."
J'étais de plus en plus stressé, et cette voix mécanique, n'arrangeait pas les choses....
Pourquoi ? Pourquoi attendre l'arrêt total de l'astronef, alors que j'avais besoin de sortir urgemment pour secourir au plus vite Aline ?
Voici le genre de questions idiotes qui nous traversent l'esprit dans ces états de nervosité absolue.....
L'astronef atterrit enfin, et je pus sortir et aller au devant de ce danger que je voyais se dessiner devant moi....
Je courus de rues en rues, le long des trottoirs étroits de Alzonk en faisant attention à ne pas tomber dans le vide au milieu de tous les véhicules volants. J'arrivais en fin devant notre case, et entrais dans le salon.... Il n'y avait personne. Un clignotant rouge attira alors mon attention....


Voilà... je sais, c'est très court, mais j'ai trop du mal en ce moment... J'arrive plus à parler français correctement .... A vous la suite

bien bien bien, donc c'est à moi...
etmoi je pense que l'ordre c'ets bien parce que sinon, genre tu pars un semain et quand tu reviens ils ont terminé l'histoire sans toi... t'as un peu la rage quoi... donc on dit cet ordre et si quelqu'un sait qu'il ne pourra pas poster sa suite, il vient et il prévient.

Sinon, nan, l'idée de base ne me vient pas du tout de ce que tu m'as raconté... enfin peut-être que mon inconscient...

ensuite je précise que j'ai proposé ça tout en sachant très bien qu'on pouvait le faire long. J'ai jamaisdit qu'on devait terminer rapidement.

eh Kob', relis toi aussi :wink:

allez -------------------------------------------------------------------
Le répondeur du visiophone.
Je m'approchai lentement de l'appareil, avais-je vraiment envie d'écouter le message ? Oui.
"Aline ! C'est un piège, ne viens pas ! J'espère que tu auras ce message..."
une voix étouffée, la voix de mon père. Une voix que je n'avais plus entendue depuis dix ans, j'habitais encore à la maison, j'avais 13 ans. Et encore... c'est Aline qui avait décroché, j'avais juste repris le téléphone pour lui dicter le numéro, calmement. Si ça avait été aujourd'hui, je lui aurait craché tout mon fiel... Non, en fait j'aurais simplement raccroché. Mais là n'était pas le problème, pourquoi parlait-il à Aline ? Où ne devait-elle pas se rendre ? Quel piège ? Est-ce qu'elle avait repris contact avec cet homme que je ne considérais même plus comme mon père ?
Je m'affalai sur une chaise... Je me sentais impuissant.
Par la suite je m'en suis tellement voulu de n'avoir pas remarqué tout de suite le bout de papier qui m'aurais permis d'arriver plus vite à l'entrepôt et de sauver ma soeur. Aujourd'hui je sais que je n'aurais rien pufaire de toute façon.
Quoiqu'il en soit, le visiophone sonna. Maman.
"Allo ?"
"Dirhan ?! Mais qu'est-ce que tu fais à la maison ? Ils t'ont donné l'autorisation de nous rendre visite ?"
"non" répondis-je simplement.
"mais alors qu'est-ce que tu fais à la maison, ils sont capables de te renvoyer tu sais ? Tu seras toujours le bienvenu mais..."
"Maman, stop ! la coupai-je, J'ai reçu un appel au secours psychique d'Aline. Je devais venir."
"Un app... elle est là ?! Passe là moi ! Elle va bien ?" s'affola-t-elle
Je pris mon inspiration : "Maman je ne veux pas te mentir, je n'en sais rien, je ne sais pasoù elle est."

Je pense qu'il vaut mieux garder le système de tour de rôle, comme ça c'est plus clair...au pire on attendra un peu :wink:
euh...oui oui c'est promis je vais me relire...c'est que là j'avais pas trop le temps
Bon alors
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-"Comment ça tu ne sais pas où elle est!! Tu me dis que tu as reçu un appel et..."
Un éclair jaune m'était apparu tout à coup. Je tournai vivement la tête vers la table et, je le vis...minuscule bout de papier jaune que l'on n'utilisait plus depuis des années. Je ne pris pas le temps de me poser plus de questions. Je sortis du champ de vision de visiophone, sans me soucier des cris de ma mère qui voulait savoir ce qui se passait. Je courus vers la table et pris à deux mains le précieux bout de feuille.
Entrepôt de karcilde, Est de la ville.
Mes yeux s'agrandirent: j'avais enfin une piste. Elle avait dû noter ce renseignement pendant l'appel de notre père, et, Dieu seul sait pourquoi elle l'avait laissé poser sur la table. J'enfournai le papier dans ma poche, pris mon manteau et me dirigeai vers la porte, lorsque j'entendis les cris de ma mère à travers le visiophonne. Raaah! Je l'avais oublié!
Je revenais sur mes pas, frustré de ce contre-temps qui m'empêcherait peut-être de sauver ma soeur...
"-Maman, maman ! Calme-toi !ok ?
-MAIS ENFIN !! COMMENT VEUX-TU QUE JE ME CALME !!
-Doucement, doucement ! Ecoutes, je ne te demandes qu'une seule chose: Fais-moi confiance."
Puis j'éteignai le visiophonne. Je savais que c'était ridicule de ma part, elle n'avait rien fait dans cette histoire, elle devait être folle d'inquiétude...mais cela m'importait peu...bizarrement. Je n'avais qu'une seule idée en tête: rejoindre au plus vite l'entrepôt et...
"-Merde!"
Je sortis de la maison à grandes enjambées, et me retrouvant dans la rue, je pris le premier taxi à coussin d'air qui passait. J'étais en colère! En colère contre tout. Je voulais que tout aille plus vite.
"-Où c'est qu'j'vous pose?"
-L'entrepôt de karcilde! A l'Est de la ville! Vite!"
Durant tout le trajet, je me pris à maudire les feux qui nous ralentissaient, les embouteillages qui nous bloquaient...je voulais aller plus vite! Retrouver ma soeur, elle m'expliquerait ce qui se passerait, et tout irait bien. Mais cette pensée n'arrivait pas à me réconforter, même avec la meilleure volonté, je savais que RIEN ne pourraient me réconforter.
"-On y est M'sieur! Ca vous f'ra..."
Je sursautai, et tendis au conducteur un gros billet de 200¤¤, peu m'importait l'argent. J'ouvris grand la portière, et sortis du véhicule sans prendre peine de la refermer. Je me mis à courrir dans la zone industrielle dans laquelle je me trouvais. Je ne savais où était l'entrepôt de karcilde, et il allait falloir me débrouiller...tout seul...

Ouarf...vous me dîtes si je fais trop long hein Quand je suis lancé, j'arrive plus à m'arrêter ^^

aie, kob', tu me laisse au moment critique, et ne t'inquiete pas pour ton roman, c'est pas grave du tout, on ne s'appersoit de rien!

**********
Je me faufilais discrètement vers l'entrepôt. Chacun de mes pas résonnais lugubrement et on devais entendre mon coeur à des kilomètres à la ronde... J'arrivais enfin a l'entrepôt. Je m'approchais lentement de la lourde porte. Je la poussais avec précaution, veillant a ne pas la faire grincer . La pièce étais vide. Etrangement, elle même totalement vide. Cet entrepot avait du contenir des cartons de karcild, mais il n'en restaisaucune traces . Il n'y avait même pas une empreinte pour me guider. Une chose me frolla la jambe. Un rat. Une soudaine envie d'éterner me saisit. Je voulu m'appuyer contre le mur du fond. Celui ci s'enfonca dans la pierre, découvrant un minuscule passage permettant de passer derrière ce mysterieux mur. Entre deux éternuement, je me faufillais dans le trou noir. Derrière règnait un noir total. Tatonnant, je m'avancais. Ma main rentra en contact avec un autre mur. Je le longeais espérant trouver une issue. Je ne fut pas décu, car je sentis bientôt une clanche. je la soulevais, heureux de trouver autre chose que de la pierre.
"Qui c'est?" hurla une voix stridente. J'eu juste le temps de voir ma soeur bailonée, ligotée, jetée a même le sol, évanouie, puis ce fut le noir complet.

dites, on auras remarqué que dans cette piece, il y avait... des murs!! des tas de murs, et des kilomètres de mur. Et puis des rats. Et puis aussi du vide. Mais bon, c'est parce que tout cela a aussi sauté au yeux de sa soeur (que je veux pas qu'elle soit morte bon dieu!)J'ai essayé de corriger un minimun( ou plutot un maximum) mes fautes. j'etais pas tres inspirée, mais je me suis reservie des elements.. A VOUS!

Bon, c'est à moi ! Désolée, mais je vais faire court (pas le temps)....
*******
"MAIS VA TU ME DIRE CE QUI SE PASS..... Ah, c'est pas vrai!! Il a raccroché !! Mais QUE SE PASSE-T-IL BON SANG !!! Et comment veut-il que je me calme ?!!"
"Tout va bien Mme Kalfeth ?" C'était le directeur."On vous entend au bout du couloir...."
"Je...Oui, excusez-moi, tout va bien...." répondit-elle.
"Dans ce cas..."
"... Mr le directeur !"
Le directeur, se retourna sur le pas de la porte du bureau 258XB12 de l'immoboïde de bureaux d'affaires de la ville d'Alzonk :
"Oui, Mme Kalfeth ?"
"Hem.... Et bien.... Pourrais-je prendre congé pour le reste de l'après-midi ? Je ne me sens pas très bien....."
"Êtes-vous consciente, Mme Kalfeth, que cette absence sera retirée sur votre salaire ?"
"Oui, Monsieur le directeur, j'en suis consciente." répondit simplement Corinne Kalfeth.
"Bien. Dans ce cas, je ne peut pas vous en empêcher, n'est-ce-pas ?" dit le directeur avec un sourire mielleux.
"Dieu que cet homme est irritant!" pensa-t-elle"Et comment faire pour me calmer, alors que je sais qu'il se passe quelque chose avec Aline et Dirhan !!"
Ce jour-là, les collègues de Corinne Kalfeth, furent étonnés de voir cette dernière courir à travers tout l'immeuble et d'en sortir tout aussi précipitemment. Elle qui était d'habitude si calem, et assez réservée.....

Bon je m'arrête là, je peux vraiment pas aller plus loin....

Corinne ne sentait plus ses pieds. Elle n'habitait pas loin de son lieu de travail; habituellement elle prenait tout de même les transports, mais en cet instant elle préférait faire confiance à ses propres jambes. Elle marchait, marchait, comme si elle n'allait jamais arriver, son corps plus clairement séparé de son esprit que jamais, il était comme une masse de muscles douloureux et pesants qui n'en finissaient pas de se traîner par terre, tandis que son esprit surchauffait, repassant tout ce que lui avait dit son fils et les différentes possibilités qui s'offraient à elle d'après ce qu'elle savait. Elle n'en voyait qu'une. Une seule personne pouvait être lié à un évènement aussi mystérieux : leur père. Une rage froide, comme seule peut en ressentir une mère qui a peur pour ses enfants, s'emparait d'elle. Elle grimpa les escaliers avec application, appuyant sur chaque marche, et entra dans son appartement. Elle alluma le visiophone.

désolée de faire si court et de vous laisser tout le boulot :DD mais je suis pas inspirée et j'avais peur qu'on me chipe ma place :silent: comme il fallait d'abord que je lise tout. à vous les studios! :rabbit:

edit admin ::: A toi Suzie

euh vi j'y vais et désolée de pas avoir répondu plus vite...
alors le langage que j'utilise ici est pas super recherché hein mais c'est normal, je me met dans la peau du personnage

*****

Raaah me voilà avec trois prisonniers sur les bras et l'interdtiction de les tuer... Karen m'avait dit deux. Deux prisonniers ! Pas trois, deux ! Elle n'a bien sûr pas jugé bon de me prévenir du risque d'une tierce personne venue au secours de la gosse ! Et je sais même pas pour qui on bosse ! Karen me laisse de plus en plus sur la touche... Qu'est-ce que je vais faire du troisième ?!
*biidibiiiiip*
Raaah, c'est quoi ce bruit ?!
Je me retournes, ça vient de la veste de la gamine...
"c'est quoi ce bruit ?"
"mon visiophone portable" tiens, elle a encore assez de forces pour parler ? Je m'essouffle...
"Eteinds ce truc !"
"Elle a les mains liées, pauvre abrutit !" ... Ce mec va pas en plus me causer des problèmes, non ?! Je prends le bâton électrique et je le frappe ? Tant pis... surtout que je n'ai reçu aucuns ordres le concernant... "Hahaha" il n'a pas l'air d'apprécier...
*biidibiiiiip*
Ce bruit... Dans un élan je me laisse aller, je lui fonce dessus. *ne pas lui faire de mal...* ... J'ai sorti ce truc de la poche mais ça sonne encore plus fort... "Sur quoi je dois appuyer ?"
Je rêve ou elle a levé les yeux au ciel ?! "le bouton vert"
Je m'éxécute : l'image d'une femme apparait et elle a un mouvement de recul. Elle est horrifiée, c'est vrai que sous cette apparence de selfide, je suis moins beau qu'à la normale... "Qui êtes-vous ? Où sont Aline et Dirhan ?!"

Le pseudo-selfide coupa violemment le contact avec corinne. Il était en rage car certains évènements venaient bousculer ces plans. Il n'aimait pas ça ! Au non, il detestait ça!
" Alors comme ça t'as entendu mon appel ?"
Is sursautèrent tout deux, Dirhan laissant échapper un petit cris de surprise. Ils se tournèrent lentemement l'un vers l'autre, les yeux ronds comme des billes, mais aucun son ne put sortir de leur bouche, l'effarement était trop intense. Toute trace de fatigue quitta le visage d'Aline l'espace d'un instant pour laisser place à un intense émerveillement.
Dirhan ?.
ALINE !
Dirhan avait crié, de surprise et d'horreur presque car,dans son esprit, la voix de sa soeur avait résonnée.
Le selfide se retourna, le visage tordu de fureur:
"Qu'est ce que vous avez tous les deux ! On ne crie pas comme ça avec moi !"
Elle assena un violent coup à Dirhan qui s'en trouva à demi assomé.

Voila a vous la suite. Désolé pour le manque d'inspiration, à la prochaine de développer leur nouveau pouvoir^^

bon bah je coris que c'est a moi...Il y a pas un moyens plus... jolie de mettre les pensée entre D. et A.? Pfiou, encore une corvée!
Corine se retourna, le souffle coupé. Une bete immonde retenais ses enfant en otage, elle en était certaine. elle ramassa ses chaussures, enfila une veste en laine et une jupe. Elle jeta un dernier coup d'oeil le miroir et sorti.
Mais une fois dans l'ascenseur, elle se redis compte qu'elle ne savais pas où chercher.
Arivée en bas, elle s'avanca vers sa voiture, tout en cherchant ses clefs.
"La poisse... Elle sont restées en haut!!!"
Elle trepigna quelques instant sur place avant de reprendre courage.
"Je vais encore devoir y aller a pied..."
Quelle idée aussi de prendre des talons... Pourtant, elle savait où elle devait aller.
"euh...Excusez-moi, pourriez vous m'indiquer la compagnie visiophone?"
On lui indiqua un énorme building. Elle entra enfin, savourant la douceur des tapis.
"madame? Que puis je faire pour vous?"
Son regard dessendit vers les pieds nus de sa cliente. Corrine bafouillais
"Je.. je voudrais localiser un visiophone, c'est urgent!"
"Mais biensur madame"
Elle la fit passer par une petite porte sur le coté, avec un sourire professionel.
"Vous desirez quelque chose pour vos pieds?"
"vous auriez une paire de chaussure? J'ai brisé mon talon gauche..."

ach, c'est à moi à présent.... J'aime vraiment ta dernière phrase vertu ! ah oui, pis jvais mettre les pensées de Dirhan entre étoiles (*), et je laisse en barré les pensées d'Aline, 'fin leur dialogue télépathique quoi....

*********
"Mmmmmh, ça fait du bien de frapper ces gosses mal élevés ..."
Sur cette pensée, le Selfide partit d'un grand rire gras et sonore.
*Qu'est-ce-qu'il lui prend à celui-là encore ?!*
Dirhan, Dirhan! Tu m'entends ?!
*Aaaah, crie pas comme ça Aline ça me donne mal à la tête.....*
Oui, hem.... Désolée, mais bon tu peux comprendre quand même ! Avec tout ce qui vient de se passer !
*Oui, laisse tomber c'est pas grave... Y a plus important : qu'est-ce-qu'on fait maintenant ?*
Ah bah, bonne question, mais je n'en ai absolumment aucune idée....
*Ah ! Il y a quelqu'un qui s'approche ! Tais-toi, et ne bouge plus; Fais comme si tu étais toujours évanouie.....*
Une porte claqua. Puis une autre. Des bruits de pas. Une femme sûrement, car on entendait le bruit caractéristique des talons aiguilles sur le bitume.

Bon je m'arrête là, de peur de pas suivre le fil de l'histoire que vous vouliez faire au départ.... Je sais plus si vous vouliez que la mère se retrouve aussi avec ses enfants ......